Parce qu’il semble que certains voient dans mes précédents billets (rêveries et rêveries la suite) un embryon de dépression saisonnière alors que je me suis juste amusé à jouer avec les structures du calcaire tout en sortant du cadre habituel de mes photos, voici un sujet bien plus léger.
Ainsi j’ai failli la prendre dans le visage cette gratounette. Encore heureux ces chères chenilles processionnaires ne m’ont pas sauté aux yeux au sens propre.
Une autre gratounette, aussi célèbre que la précédente : le pou.
Il s’agit d’une jolie maman Pediculus capitis (Insecta Pediculidae, surnommée « moche comme un pou »). Le secret pour photographier un tel mannequin? Avoir la chance, quand on est un papa fan de macro, d’avoir des enfants qui ont la bonté de vous fournir des sujets photographiques en période creuse. Je les remercie chaleureusement 😉
Pour être certain que vous vous grattiez bien la tête après avoir lu ce billet, en voici une qui vient vers vous.
Ne me remerciez pas, bonne journée et grattez-vous bien!